Revue
de Presse 1998 - 2002
2002 : "Santhika
: l'harmonie pour tous" - "Sur
un air de java" - "Brèves
de foire : un massage pour 5 euros"
- "L'Ambassadeur
d'Indonésie visite la foire" - "3
questions à
Association Santhika"
2001 : "Se
relaxer à l'amicale Dormand"
2000 : "Yin,
Yang, Yoga" - "Un
éternel recommencement" - "A
la rencontre du corps et de l'esprit"
1999 :
"S'initier au Yoga
de Bali "
1998 : "Le
yoga qui soigne"
"Le
Progrès", septembre 2002
Santhika : l'harmonie pour tous
Au sein de cette association, Georges Contreras
est le seul en France à enseigner le yoga et les massages traditionnels
de Bali.
Georges Contreras a connu un tournant dans sa vie
lorsqu'il rencontra, lors d'un voyage en Indonésie, " un être
d'exception " nommé Madé Sudira, maître de yoga,
de danse, de musique et de massage. A Lovina Beach, petite ville du nord
balinais, le visiteur s'est rendu plusieurs fois en treize ans, pour s'initier
d'abord au yoga, puis aux massages pratiqués là-bas, enfin,
plus récemment, à la curieuse danse des Topeng, masques
très symboliques qui représentent " tous les espaces
de la vie ".
" Je ne considère pas Made Sudira comme un gourou, simplement
comme une personne ayant la maîtrise de ce qu'il enseigne. Avec
lui j'ai beaucoup appris
"Un travail de longue haleine"
Depuis, Georges Contreras est devenu un fidèle
ambassadeur en France de la culture balinaise. En costumes très
colorés, il donne, à la demande, des spectacles qui rencontrent
un certain succès. Mais l'homme ne recherche pas spécialement
l'exotisme.
Au sein de l'association Santhika (mot sanscrit signifiant harmonie, amour,
pour tout et tous), il enseigne le yoga de Bali, " une chorégraphie
du souffle et du mouvement qui relie corps et esprit ". Le yoga est,
selon lui, " un travail de longue haleine " qui s'appuie sur
les respirations, les postures, et bien d'autres techniques comme les
mantras (son), les visualisations
Si le contrôle du souffle constitue un élément fondamental
de toute discipline yogique, l'enseignant propose de varier le thème
de chaque cours : équilibre physique, gestion des états
émotionnels, ou encore pratique du rire, des mimiques d'expression,
et, parfois, des séances d'auto-massage. En matière de digitopuncture,
Georges Contreras est d'ailleurs un expert. En cinq ou dix minutes, il
réussit à chasser les tensions accumulées au niveau
du visage et du dos de son patient, et à lui faire connaître
un calme bienvenu qu'il nomme " état neutre ".
Rendre la douleur plus fluide
Enseignés dans les familles balinaises, les
massages se font en pressions toniques, et énergétiques.
" Pour prendre soin d'eux, les gens devaient se masser une fois par
semaine, " commente l'enseignant en techniques ancestrales (à
l'amicale Dormand, un lundi par mois).
Il montrera d'ailleurs son savoir-faire, cette semaine, au public de la
foire de Saint-Etienne, dans le hall A. Les lundis, M. Contreras propose
aussi des séances consacrées aux personnes souffrant de
douleurs chroniques, dues à un traumatisme ou à une maladie.
" Plus on a mal, plus il faut se détendre " explique
celui qui a lui-même eu un accident grave autrefois. " Des
exercices de relaxation corporelle et mentale permettent de rendre la
douleur plus fluide et de diminuer la quantité de médicaments
"
" La douleur est un avertisseur, elle taquine notre faiblesse "
dit-il, incitant tout un chacun à faire face à ses peurs
et à ses pensées. En ce sens, il prépare un ouvrage
intitulé " Sans ce dialogue, il n'y a pas de guérison
volontaire
"
Claudie Leger
"Le Progrès", 25 septembre
2002
Sur un air de java
L'Indonésie, vaste archipel étendu
entre Sumatra et les îles de la Sonde, recèle un petit paradis
proche de Java. Il s'agit de Bali, que connaissent bien Georges Contreras
et ses amis de l'association Santhika, pour en être les incontournables
ambassadeurs ligériens. Témoin, la présence d'un
attaché de l'ambassade d'Indonésie à Paris, M.Santosa,
qui s'est déclaré très sensible à l'accueil
: " Notre vaste pays morcelé doit gérer plus de 220
millions d'habitants, répartis entre pas moins de 400 ethnies.
Autant dire que les problèmes sont vastes. Moi qui suis plus responsable
dans les domaines culturels et pédagogiques, je dois dire que je
viens de découvrir, avec plaisir, l'impact de cette grande foire
stéphanoise. Et surtout la chaleur de son accueil. "Serait-ce
à dire qu'après Tahiti, le hall C pourrait vibrer l'an prochain
aux rythmes balinais ? Il suffira peut-être d'un ballet chatoyant
vendredi soir pour convaincre définitivement les responsables des
lieux.
A.C
"Le Progrès", 21 septembre 2002
Brèves de foire
Un massage pour 5 euros
Tout les jours, Georges Contreras, membre de l'association
Santhika et initié à Bali par Maître Sudira, propose
aux visiteurs, un massage traditionnel de bien-être pour la modique
somme de 5 euros. Le client étant assis sur un tabouret, le soin
de dix minutes porte sur le cou, le dos et les épaules. Il est
censé procurer un bien-être pour la journée entière.
L'Ambassadeur d'Indonésie visite la foire
Selon les responsables de l'association Santhika,
centre de culture Balinaise, l'Ambassadeur d'Indonésie sera sur
leur stand, aujourd'hui à 9h30. " L'Ambassade nous à
prêté des masques et du matériel. Pour ces raisons,
l'Ambassadeur souhaite nous rencontrer et s'informer sur nos actions,
dont un projet de présentation d'artisanat et de spectacles de
Bali, l'année prochaine, dans le hall C ", précise
un des responsables.
3 questions à
Association Santhika
Hall C - M.Santosa, vous êtes délégué culturel
à l'Ambassade d'Indonésie. Quel est votre rôle ?
" En fait, je suis conseiller culturel, scientifique et pédagogique
auprès de l'Ambassadeur d'Indonésie à Paris. Je suis
indonésien et j'aime à la fois mon pays et la France. Ici,
j'ai une mission très large. Tout d'abord, mon but est de développer
la collaboration Franco-Indonésienne, notamment au niveau de la
recherche et de la science. Nous avons aussi des projets inter-universitaires
entre nos deux pays. "
- Invité par l'association Santhika, centre de culture balinaise,
quel est le but de votre visite ?
" Tout d'abord ça me fait très plaisir d'avoir été
invité. Je viens à St-Etienne pour, en quelque sorte, préparer
le terrain. L'an prochain, nous serons invités d'honneur de la
foire, comme les Iles Polynésienne aujourd'hui. "
- Vous devez être fier de rencontrer des passionnés de culture
balinaise ?
En Indonésie, il y a plus de cent ethnies. Ce qui entend des cultures
différentes. C'est une grande richesse que je tente d'exporter.
Quand je parcours la France, j'apprécie l'enthousiasme à
l'égard de ma culture. "

" Le Progrès
" 30 avril 2001
Se relaxer à l'amicale Dormand
Apprendre à se détendre, connaître
son corps, voici les objectifs de Georges Contreras, professeur de bali
yoga et bali danse.
Georges Contreras enseigne le bali yoga, le bali
massage et le bali danse depuis douze ans. Après un tour du monde,
il s'arrête à Bali et fait la rencontre d'un maître
balinais, Madé Sudira, qui lui enseigne son savoir-faire. Depuis,
tous les deux ans, il retourne à Bali pour parfaire ses connaissances,
car Georges Contréras a un souci permanent, celui de se perfectionner.
Pour Georges Contreras, on a tous besoin de se détendre, d'échapper
à la tyrannie du temps. Yoga et massage permettent de retrouver
équilibre et plénitude.
Le massage n'est pas seulement physique, il comporte une grande part de
psychologie. Pour Georges Contreras : " Un bon massage va droit au
plus profond de votre être ".
Les cours se déroulent en fin de journée, les lundis de
19 heures à 20h30 pour le bali danse et le bali massage et le mercredi
de 19 heures à 20h30 pour le bali yoga.
Stages yoga nature
Georges Contreras met en place également des
stages le week-end (les samedis 19 et dimanche 20 mai, stage yoga nature
à Riotord Haute-Loire, hébergement en gîte et les
samedis 16 et dimanche 17 juin, stage yoga nature en grotte. Les objectifs
pour ce dernier stage sont de savoir dominer ses angoisses et ses émotions).
Quel que soit le lieu, l'ambiance est toujours très détendue.

" Le Progrès
" 29 février 2000
Yin, Yang, Yoga
Pour rendre une douleur chronique, supportable
ou tout simplement dialoguer avec son corps, l'association Santhika propose
des cours de yoga.
Lorsqu'on franchit la porte du 31, rue du Coin, une
odeur d'encens transporte le visiteur vers des contrées lointaines.
Au sol, une dizaine de coussins est posée, en cercle.
Une atmosphère de sérénité se dégage
de se décor où Georges Contreras propose des cours de yoga.
L'association Shambala, du nom de la cité tibétaine de la
lumière, deviendra bientôt Santhika qui signifie " harmonie
pour tous ", mais l'objectif reste le même : mettre en accord
le corps et l'esprit par le biais du yoga et des massages balinais.
Pour Georges Contreras, " le yoga permet de faire un travail sur
soi, de rentrer vers l'intérieur afin de comprendre les processus
qui nous animent.
Le corps et l'esprit sont liés : le yoga donne la possibilité
de neutraliser les actions négatives de l'un et l'autre.
Par le dialogue que l'on établit avec son corps et son esprit,
on débouche sur une détente, une relaxation ".
Le yoga, palliatif à la douleur
C'est d'ailleurs ce que viennent chercher les pratiquants
du yoga : une sérénité, un bien-être spirituel
et corporel.
Mais le yoga s'adresse également à des personnes souffrant
de douleurs chroniques ainsi " plus on a mal, plus on est tendu et
on s'enferme alors dans un cercle vicieux.
Le yoga apporte une détente psychologique et physique mais il ne
guérit pas ".
Georges Contreras n'a pas la prétention de supprimer la douleur
mais plus modestement d'utiliser les techniques balinaises de yoga afin
de la rendre plus supportable. Il bénéficie d'ailleurs de
l'appui médical des professeurs Laurent, Perpoint, Emonot et Rousset
et du docteur Navez. Georges Contreras assure également des cours
de massages balinais, activité complémentaire du yoga.
Fondés sur la technique de la digitopuncture, ces massages assurent
une détente à tout le corps parce qu '"ils s'adressent
à tous ses circuits électriques". Parallèlement
à ces activités, Georges Contreras propose des séminaires
de yoga de deux jours, en salle, en gîte ou en grotte " dans
le but de pousser ses limites, afin de ne pas être dépendant
".
Initié à Bali par Maître Madé Sudira, Georges
Contreras a faite sienne la culture de ce pays. Ayant revêtu les
costumes et masques traditionnels, il a ainsi participé au spectacle
stéphanois du passage de l'an 2000, au défilé du
Nouvel An chinois et à l'ouverture d'un match de foot, à
Geoffroy Guichard, accompagné de son maître venu de Bali
" Le Progrès " 29 Février
2000
" Un éternel recommencement "
Mieux qu'une passion, le yoga est devenu pour
Georges Contreras un véritable mode de vie.
Aujourd'hui initié à la danse balinaise, il a fait sienne
la culture balinaise.
Né à Andorre, Georges Contreras
exerçait la profession de commercial en voitures.
Un jour, " suite à une rupture d'équilibre ",
il vendit tout et partit pour un tour du monde : l'Amérique du
Nord, l'Amérique latine, l'Australie
et puis Georges décida
de poursuivre son périple par l'Inde.
Mais son chemin le conduisit vers Bali. " Je ne pense pas que je
me sois retrouvé à Bali par hasard. Là-bas, on dit
que lorsque l'élève est prêt, le professeur arrive
".
Et en 1990, il rencontre Madé Sudira qui l'initie, lui, un blanc,
au yoga ; " les techniques de base furent rapides à assimiler
mais il faut au moins trois ans pour digérer ce que j'ai appris
: c'est ainsi que tous les trois ans je retrouve mon maître qui
chaque fois m'apprend autre chose. Un éternel recommencement !
"
A Bali le voyage s'inscrit dans une tradition indo-boudhiste et outre
le fait de s'inscrire dans une culture nationale, il revêt une valeur
mystique.
Plus tard, " afin de mettre mes extrêmes très bas pour
prendre conscience de mes capacités ", Georges Contreras s'enferme
dix jours dans un trou en jeûnant.
Le jeûne, Georges le connut aussi lors d'une maladie, qu'il qualifie
avec le retour de psychosomatique. " Pour moi, le voyage s'arrêtait
là : c'était la fin du rite initiatique. Je devais rentrer
et c'est à Bushkar que j'eus la révélation : il fallait
que je donne des cours de yoga aux séropositifs pour soulager leurs
douleurs. Je suis rentré à St-Etienne et me suis présenté
à l'hôpital de Bellevue ".
Et depuis dix ans, Georges donne ses cours de yoga et de massage balinais.
A présent il a appris la danse balinaise, toujours enseignée
par son maître Madé Sudira. La trinité : yoga, massage,
danse.
Le corps et l'esprit dans leur intégralité.
" Le Progrès " 17 octobre 2000
A la rencontre du corps et de l'esprit
Depuis le 2 octobre, les cours de yoga de Georges
Contreras ont repris. Originaires de Bali, ses méthodes vont des
techniques de massage, à la danse en passant bien évidemment
par le yoga au sens strict. Son but est le même depuis onze ans,
permettre aux gens de se sentir bien dans leur peau.
Les cours de Georges Contreras sont ouverts
à tout public. Hommes et femmes, jeunes ou plus âgés,
tout le monde peut s'adonner au yoga.
En général, au début " les gens viennent par
curiosité " explique le professeur. " Ils ont une image
du yoga et veulent savoir si elle est juste. Mais le plus souvent ils
se rendent compte que non " poursuit-il. Dans l'ensemble, le yoga
n'est pas une activité qui a une bonne réputation. Certains
le voient comme quelque chose de superflu, d'autres vont même jusqu'à
" l'apparenter à une secte ". C'est cette image que Georges
cherche à modifier. Le yoga et ses dérivés, danse
ou massage, sont simplement des techniques de bien être. D'ailleurs
son exercice est tellement bénéfique, qu'un partenariat
est en train de s'établir entre le professeur et l'hôpital
Bellevue pour permettre aux malades de moins souffrir. Georges n'a pas
la prétention de guérir les gens ou même de faire
disparaître leur douleur, il cherche seulement à la rendre
supportable.
Dès le mois prochain, il devrai commencer à s'occuper des
personnes migraineuses. Pour lui, " la douleur est un cercle vicieux
: plus on a mal, plus la tension monte et cette hausse joue sur la douleur.
Il faut déjouer ce cercle en évitant aux gens d'avoir des
hausses de tension lorsqu'ils souffrent " explique le professeur.
Il constate que dans l'ensemble, les gens qui ont souffert sont beaucoup
plus réceptifs à ses méthodes que les autres. La
constatation joue également pour les femmes. Il semblerait que
le côté " machiste " des hommes soit un frein au
yoga.
Si Georges met tant d'entrain dans ses cours, c'est parce que lui aussi
est passé par des périodes de souffrance et que le yoga
lui a permis de s'en sortir plus vite. " Au départ, j'ai appliqué
les exercices sur moi. En effet, suite à une mauvaise fracture
du tibia, j'ai du subir deux opérations, et un long séjour
en maison de rééducation.
Lorsque j'ai vu le bénéfice que m'apportait cette discipline,
je l'ai appliquée sur d'autres patients.
Et à ma sortie, j'ai décidé de l'enseigner à
tout le monde ".
Aujourd'hui, afin d'apporter de plus en plus de bien être à
ses élèves, Georges Contreras retourne tous les deux ans
à Bali, où il rencontre un maître qui le conseille
afin d'améliorer ses méthodes, et lui en apprend de nouvelles.
Il peut également s'agir de nouvelles danses.
Les danses de Bali découlent en effet directement du yoga. Elles
montrent à quel point il est indispensable d'allier le physique
et le mental pour être bien et donc bien danser.
D'ailleurs les stéphanois ont pu avoir un aperçu de cette
activité lors de la foire économique. Vêtu d'un costume
coloré et d'un masque blanc, Georges a fait quelques démonstrations.
Cette année, il est chargé d'organiser en partie le réveillon
de l'an 2001 pour la ville. Mais de nombreux autres spectacles devraient
avoir lieu tout au long de la saison.
MYRIAM DUVERGER

" Mutualité
" 1999
S'initier au Yoga de Bali
On peut ne pas avoir la moindre notion de yoga et
arriver au terme des premiers exercices avec une sensation de bien-être
et de plénitude. C'est une " révélation "
qui tient tout à la fois à la vertu des mouvements et à
la méthode, simple et souple, du professeur. A St-Etienne, Georges
Contreras et l'association shambhala (la Cité de la lumière)
accueillent gratuitement les jeudis de 9h30 à 10h45 les personnes
disposées à trouver dans la pratique du yoga l'antidote
à leurs crispations, au stress et au mal-être qui en résulte.
Peut-on dialoguer avec son corps, avec ses douleurs, briser le cercle
vicieux de la douleur ? Le yoga balinais permet d'entamer un dialogue
avec soi-même.

" Le Progrès
" 1998
Le yoga qui soigne
Georges Contreras et l'association Shambhala proposent
deux stages d'initiation à la pratique du yoga : l'occasion de
faire le plein d'énergie.
"Venez et voyez ", dit Georges Contreras,
le professeur de yoga. Respectueux de la démarche de chacun, il
s'en tient là, mais la conviction qu'il met dans son propos, le
ton appuyé de son invitation, donne envie de franchir le pas.
On ne le regrette pas, c'est le moins qu'on puisse dire. Bon professionnel
et patient pédagogue (il a été initié à
Bali par maître Madé Sudira), Georges Contreras va à
l'essentiel, sans emphase, avec le minimum de gestes et de mots.
L'homme ne s'embarrasse pas de formules inutiles, il lui suffit de prendre
en compte l'attente de son public et d'y répondre de la façon
la plus pratique, la plus concrète.
On peut n'avoir pas la moindre notion de yoga et arriver au terme des
premiers exercices avec une sensation de bien-être et de plénitude.
C'est une " révélation " qui tient tout à
la fois à la vertu des mouvements et à la méthode,
simple et souple, du professeur. A Saint-Etienne, au siège de l'association
Shambhala (un nom qui signifie Cité de la Lumière, dans
la mythologie tibétaine), Georges Contreras accueille deux fois
par semaine, les lundi et jeudi, les personnes disposées à
trouver dans la pratique du yoga l'antidote à leurs crispations
et au stress, et au mal-être qui en résulte.
Ses élèves qui se produisaient au récent Forum des
Associations, ont fait sensation pour la qualité de leurs prestations
: elles témoignaient d'une belle maîtrise et d'un bon niveau
de concentration.
Elles voulaient dire aussi que la pratique du yoga est à la portée
de tout un chacun, pour peu qu'il fasse effort sur soi. et qu'au bout
de l'effort, il y a, pour chacun, la réponse qu'il attend.
" Le yoga : une source d'énergie "
" Tout ce que tu ne découvriras pas à
travers ton corps, tu ne le découvriras nulle part ailleurs ",
dit justement le sage dont Georges Contreras rappelle le propos.
Le professeur ajoute, prenant pour exemple la sérénité
qu'affichent ses élèves : " La pratique du yoga, en
gommant les tensions, aide à retrouver, à rassembler ses
forces. On récupère plus vite, on a plus d'énergie
".
C'est dans ce même souci que Georges Contreras propose deux stages
d'initiation, les 27 et 28 avril, et les 29 et 30 Juin. Au programme de
ces journées : exercices pratiques de yoga (respiration, décontraction,
prise de conscience du corps, concentration
).
Une table ronde réunira les participants autour de deux thèmes
: la respiration, qui conditionne tout, et l'influence du mental sur le
corps.
Les stages auront lieu à Shambhala, siège de l'association,
31, rue du Coin, Saint-Etienne. Les tarifs : 300F la journée, 550F
les deux jours (repas en sus). On peut s'inscrire par courrier ou se présenter
à l'ouverture du stage.

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